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En observant ces rôles, vous constaterez qu’ils subissent l’influence de diverses perceptions et attentes découlant de facteurs culturels, politiques, écologiques, économiques, sociaux et religieux, ainsi que des coutumes, des lois, de la classe sociale, de l’ethnie et de préjugés individuels ou institutionnels.
En effet, la promotion du genre est une notion très ressente et constitue, à présent, une des grandes préoccupations de la communauté mondiale. Non seulement il figure dans la liste des objectifs du développement, mais elle est déjà incorporée dans des textes, nationaux comme internationaux, pour permettre la réalisation de cet objectif.
Selon les justifications que ses animateurs ont toujours démontrées, nous pouvons observer que le contenu de cette lutte porte sur un ensemble des procédés établis pour éradiquer les constructions sociales discriminant une catégorie des personnes à cause de son appartenance sexuelle.
En se basant sur les intentions et finalités des promoteurs de la lutte, il s'en suit qu'on ne peut pas parler du genre sans faire usage à un outil très indispensable de cette lutte, la parité. Ces notions vont ainsi de pair et forment un tout dans le processus de rendre la lutte certaine.
Le dictionnaire français défini le concept parité de plusieurs manières mais les sens qu'il le donne et qui rentrent dans l'esprit de cette lutte sont les suivants : la parité renvoie à une égalité ou similitude entre des objets de même qualité, de même nature ; ou encore une égalité de traitement (ou de respect), entre personnes.
Il porte ainsi sur l’égalisation l’espèce humaine en traitement et jouissance, et vise à briser les diverses indifférences sociales qui s’observe entre la personne male et celle femelle. C'est ainsi que dans la constitution de la RD Congo par exemple, il est fait obligation à l'État de garantir une représentation équitable des fonctionnaires hommes et femmes dans la fonction publique.
Les femmes étant trop victimes de ces inégalités, les mécanismes institués pour atteindre cet équilibre mettent un accent sur elles et visent à ravir aux hommes des droits, apparemment supplémentaires, pour les leur octroyer. Il semblerait donc que les hommes ont atteint le stade d’outrepasser leurs prérogatives jusqu’à finir par capter celles des femmes.
Bien sûr qu'il peut y avoir tant à dire ici, mais tel est la vision globale de la lutte pour le genre et l’égalité de chance entre l’homme et la femme : les partisans de la lutte veulent donc que les femmes ne soient plus jamais ignorées devant des opportunités auxquelles les hommes ont toujours été soumis.
Au vue de cela, tout ce que les uns (ou les unes) peuvent faire, les autres les peuvent aussi ; et il faut que tous concourent pour saisir n’importe quelle opportunité. Et à part certaines choses liées à la nature particulière de l’homme ou la femme, le reste est soumis à la compétitivité entre les personnes de tous « genres » pour que les meilleures l’emportent.
Dans le présent article, nous essayons de parler de la face visible ainsi que la face cachée de ces choses. Télécharger l'article en cliquant sur l'image en bas :👇👇👇
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Fait à Bukavu, le 30 Août 2021,
Dr YEHOVA-NISSI,
Premier ministre.
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